Commentsont calculĂ©s les tarifs pour une manifestation musicale ? Le mode de calcul est indĂ©pendant de l'origine, du genre des oeuvres, de leur nombre ou de leur durĂ©e. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, et comme le prĂ©voit le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle (Art. L. 131-4), l'auteur doit ĂȘtre intĂ©ressĂ© Ă  l'exploitation de son oeuvre ; les droits d'auteur sont Pourcela, la Sacem soutient plus de 2 600 projets ! La Sacem et les Ă©lĂšves-ingĂ©nieurs, pour quoi faire ? Comme tout travailleur, les artistes doivent aussi ĂȘtre payĂ©s ! Mais les auteurs et les compositeurs ne reçoivent pas de salaire pour leur travail de crĂ©ation mais ils ont les droits d’auteur. Du coup, le droit d’auteur n’est ni un impĂŽt ni une Sujet Re: La SACEM? Jeu 21 FĂ©v - 21:56. Normalement c est a l organisateur de payer. Et il doit te faire remplir une fiche avec les morceaux que la fanfare joue. Le truc pour pas etre chiant avec l organisation (surtout si elle a pas de sous genre assos de quartier ou de commercants, qui, soit dit en passant, doivent payer pour la radio par Re: Mettre de la musique ou tv Ă  nos cliente sacem ou pas ? je suis en formation pour crĂ©ation d'entreprise et justement on en a parlĂ© la semaine derniĂšre. oui tu dois payer la sacem! au niveau des tarifs celui-ci varie en fonction de la frĂ©quence de la radio, donc certaine couteront plus cher que d'autre. en fait c'est du cas par cas. Lorsquevous ouvrez un Ă©tablissement qui diffuse de la musique, vous devez faire votre dĂ©claration auprĂšs de la SACEM. La SACEM vous envoie ensuite deux factures. La premiĂšre pour la SACEM et la seconde pour la SPRE. Ces factures doivent ĂȘtre rĂ©glĂ©es dans les 23 jours qui suivent leur rĂ©ception. Quand ne pas payer la SACEM ? Toutefois l'ensemble des artistes de la planĂšte ne fait pas appel Ă  une sociĂ©tĂ© de gestion de droit d'auteur pour la perception de leurs droits. De plus, le droit amĂ©ricain du copyright est moins protecteur du droit des auteurs que ne l'est le droit d'auteur français. L'ensemble de ces paramĂštres a donc permis Ă  des entreprises de trouver la faille de l'arsenal WpDFqE. La premiĂšre Ă©tape pour devenir un musicpreneur accompli et vivre de ses crĂ©ations Ă  l’ùre d’Internet est de vendre sa musique en ligne. Car avec toutes les nouvelles technologies existantes actuellement, il n’a jamais Ă©tĂ© aussi facile de distribuer et gagner de l’argent sur le Web avec ses crĂ©ations musicales. Bien entendu, si on a la chance de recevoir le soutien d’un label, la question ne se pose pas. Mais comment faire quand on est indĂ©pendant ? Aujourd’hui vous pouvez directement vendre votre musique Ă  vos fans, peu importe l’avancement de votre projet. C’est ce que nous allons voir tout de suite. 1. Avoir des titres prĂȘts Ă  ĂȘtre vendusLa qualitĂ© audio est-elle suffisante ? Est-ce masterisĂ© ?Avez-vous rempli les mĂ©tadonnĂ©es correspondantes Ă  chacun de vos titres ?Avez-vous une pochette Ă  l’image de votre univers ?Est-ce que vos Ɠuvres sont protĂ©gĂ©es ?Quel est votre plan marketing ?2. Vendre sa musique sur son propre site Web3. Vendre sa musique via un distributeur digitalConclusion 1. Avoir des titres prĂȘts Ă  ĂȘtre vendus Il n’y a pas que le “comment” qui importe, il y a Ă©galement le “quoi“. Votre musique est-elle prĂȘte Ă  ĂȘtre diffusĂ©e et vendue mondialement ? Il ne faudrait pas rater votre entrĂ©e. Avant d’aller plus loin, posez-vous les questions suivantes La qualitĂ© audio est-elle suffisante ? Est-ce masterisĂ© ? Si vous avez eu l’occasion d’enregistrer en studio, alors vous avez trĂšs peu de risques. Mais si vous avez autoproduit dans votre home studio, il peut ĂȘtre judicieux de demander l’avis de personnes extĂ©rieures au projet sur le rendu final de vos chansons. Par ailleurs, n’utilisez des fichiers compressĂ©s comme .mp3, mais plutĂŽt un format lossless comme FLAC ou WAV. Avez-vous rempli les mĂ©tadonnĂ©es correspondantes Ă  chacun de vos titres ? Chaque fichier a besoin d’un titre complet, du nom de l’artiste, du nom de l’album et de toutes les informations pertinentes que vous pouvez ajouter. Votre musique sera plus facilement reconnaissable par vos fans, comme par les logiciels et services durant leur traitement. Avez-vous une pochette Ă  l’image de votre univers ? La pochette de l’album est probablement un des Ă©lĂ©ments les plus importants dans le branding d’une production. Ne la nĂ©gligez pas et procurez-vous une pochette au design professionnel d’une taille comprise entre 1400x1400px et 3000x3000px en JPEG ou PNG. Est-ce que vos Ɠuvres sont protĂ©gĂ©es ? Si certaines des pistes sont des reprises, il est obligatoire que vous payiez votre part de droits d’auteur. S’il s’agit d’Ɠuvres originales, protĂ©gez-les via la SACEM avant leur sortie pour garantir et toucher vos droits. Quel est votre plan marketing ? Si vous imaginez que c’est parce que vous mettez votre musique en ligne qu’elle sera immĂ©diatement populaire, alors vous vous trompez. Vous avez besoin de prĂ©voir bien en avance une date de lancement et d’assurer la promotion de l’album avant, pendant et aprĂšs sa sortie Ă  travers tous les mĂ©dias qui vous semblent pertinents rĂ©seaux sociaux, radio, tĂ©lĂ©, publicitĂ©, presse, blogs, etc. 2. Vendre sa musique sur son propre site Web La premiĂšre solution pour vendre sa musique sur Internet est la plus compliquĂ©e Ă  mettre en place, mais aussi celle offrant le meilleur retour sur investissement. Ici le but est de ne pas faire appel Ă  des intermĂ©diaires et de vendre directement ses Ɠuvres sur son propre site Internet d’artiste. Bien Ă©videmment, la crĂ©ation du site est en soi une tĂąche assez technique que l’on ne va pas dĂ©crire ici Ă  moins que vous utilisiez des services comme Bandzoogle ou Hostbaby. Mais une fois que tout est en place, il ne vous reste plus qu’à rajouter quelques Ă©lĂ©ments pour ĂȘtre prĂȘt Ă  vendre votre musique. À partir de lĂ , vous avez besoin de deux outils Un processeur de paiement comme PayPal ou Stripe, afin de pouvoir recevoir des transactions Un service de livraison de produits numĂ©riques comme Gumroad, Selz ou Sendowl qui se charge d’honorer la commande Ă  votre place Les avantages de cette technique sont que vous gardez le plein contrĂŽle sur la maniĂšre de vendre promotion, prix, offre, etc. et que les frais sont bien moindres. En effet, en fonction de la solution que vous utilisez, vous garderez toujours au moins 95 % de ce que vous vendez, aprĂšs que les deux outils aient prĂ©levĂ© leurs commissions. 3. Vendre sa musique via un distributeur digital L’autre maniĂšre de vendre sa musique, c’est de passer par un distributeur numĂ©rique. Cette solution est plus coĂ»teuse en gĂ©nĂ©ral, mais plus simple Ă  mettre en place et offre bien plus de visibilitĂ©. En effet, aucun artiste ne peut prĂ©tendre recevoir autant de trafic sur son site Web qu’iTunes sur sa plateforme. Mais qu’est-ce qu’un distributeur numĂ©rique ? Il s’agit de la plateforme qui sert d’intermĂ©diaire entre l’artiste et les sites de tĂ©lĂ©chargement et de streaming de musique Spotify, iTunes, Google Play, Deezer, Amazon, etc., en contrepartie d’une commission ou d’un frais annuel fixe. À vrai dire, il s’agit de la seule maniĂšre pour les artistes indĂ©pendants de vendre leur catalogue sur ces sites. Ainsi, l’artiste n’a plus qu’à trouver le distributeur digital ou agrĂ©gateur qui se prĂȘte le mieux Ă  ses exigences. NĂ©anmoins la tĂąche peut ĂȘtre compliquĂ©e, car ils sont extrĂȘmement nombreux sur ce marchĂ© CDBaby, Zimbalam, Wiseband, Tunecore, iMusician, etc. Comment choisir ? Pour cela il va falloir comparer attentivement les diffĂ©rents bĂ©nĂ©fices, coĂ»ts, plateformes proposĂ©es, termes du contrat, territoires couverts et dĂ©savantages de chaque distributeur. Et pour cause tout peut changer de l’un Ă  l’autre. Pour certains, le coĂ»t unique par album est trĂšs faible, mais les commissions sur les ventes sont Ă©levĂ©es. Pour d’autres, les commissions sur les ventes sont faibles, mais le coĂ»t annuel est plus important. Par ailleurs, certains distributeurs proposent des options premium qui pourraient Ă©ventuellement vous intĂ©resser en fonction de l’avancement de votre projet. À vous de comparer en fonction de vos propres critĂšres les distributeurs qui vous intĂ©ressent. Mais pour vous aider dans votre dĂ©cision, je vous invite Ă  dĂ©couvrir un article spĂ©cialement Ă  ce sujet Comment Choisir le Meilleur Distributeur Digital pour Votre Musique ? Conclusion Aujourd’hui, l’objectif pour un artiste est avant tout d’ĂȘtre vendu sur les principales plateformes de musique en ligne iTunes, Spotify, Deezer, Amazon et Google Play. Choisissez donc avec discernement les distributeurs numĂ©riques qui proposent cela et qui correspondent le mieux Ă  votre projet. Une fois que c’est fait, vous pourrez alors aller plus loin et vendre votre musique directement sur votre site. Ouvrir un restaurant est au cƓur du projet de beaucoup de français. Chaque annĂ©e, plus nombreux sont les entrepreneurs Ă  reprendre des bars ou restaurants, ou Ă  crĂ©er leur propre fonds de commence. Il est alors d’une importance capitale de bien prĂ©parer son projet Ă©tude de marchĂ©, business plan, budget prĂ©visionnel
 Nombre d’élĂ©ments permettent d’évaluer la viabilitĂ© du projet d’ouvrir un restaurant ou un bar. NĂ©anmoins, un Ă©lĂ©ment est souvent omis la diffusion de musique. En effet, nombre de bars et de restaurants diffusent de la musique, qu’il s’agisse simplement d’un fond sonore ou que la diffusion participe Ă  l’ambiance du fonds de commerce. Or, la diffusion de musique dans un restaurant ou un bar impliquera de conclure un contrat avec la SACEM. Alors, suivez le guide avec ALVEA FORMATION ! Sommaire I/ Qu’est-ce que la SACEM et pourquoi recourir Ă  ses services ? II/ Comment obtenir l’autorisation de diffuser les Ɠuvres gĂ©rĂ©es par la SACEM ? III/ Les tarifs de la SACEM IV/ D’autres frais ? V/ Quelles alternatives Ă  la SACEM ? I/ Qu’est-ce que la SACEM et pourquoi recourir Ă  ses services ? La SACEM SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique est une sociĂ©tĂ© de gestion de droits d’auteurs. Elle a conclu des contrats avec un grand nombre d’artistes et les reprĂ©sente lorsqu’il s’agit d’autoriser la diffusion de leur musique dans les lieux publics. S’agissant d’une sociĂ©tĂ© civile Ă  but non lucratif, les redevances collectĂ©es par la SACEM sont reversĂ©es aux artistes qu’elle reprĂ©sente. La diffusion de musique dans un lieu public, tel un cafĂ© ou un bar, devant obligatoirement se faire en contrepartie d’une rĂ©munĂ©ration de l’artiste, l’intĂ©rĂȘt de passer un contrat avec la SACEM est de pouvoir diffuser un large rĂ©pertoire de musique sans devoir se soucier de rechercher les autorisations individuelles de chacun des artistes, ni-mĂȘme que de leur verser chacun une rĂ©munĂ©ration distincte. Ainsi, dĂšs qu’il s’agit de diffuser de la musique dans un bar ou un restaurant, la conclusion d’un contrat avec la SACEM se place en quasi-impĂ©ratif. II/ Comment obtenir l’autorisation de diffuser les Ɠuvres gĂ©rĂ©es par la SACEM ? Obtenir une autorisation de diffusion du rĂ©pertoire SACEM est trĂšs simple. Pour cela, il vous suffit de vous rendre sur le site de la SACEM. Une fois votre compte personnel créé et validĂ©, il vous sera possible d’adresser une demande d’autorisation de diffusion. A noter, la SACEM peut dĂ©livrer deux types d’autorisation de diffusion Une autorisation gĂ©nĂ©rale pour la diffusion de musique dans votre bar ou restaurant ; Une autorisation spĂ©ciale, devant ĂȘtre sollicitĂ©e si vous souhaitez mettre en place des animations musicales karaokĂ©, concerts, etc au sein de votre bar ou restaurant. Attention conclure un contrat avec la SACEM et payer le forfait de droits d’auteur facturĂ© par elle vous permet uniquement de diffuser de la musique, dans votre bar ou votre restaurant, en toute lĂ©galitĂ©. La SACEM ne fournit pas les supports sur lesquels vous trouverez les musiques Ă  diffuser. Il vous appartiendra de constituer vous-mĂȘmes vos playlists. A dĂ©faut, vous pouvez recourir aux services de professionnels proposant des listes de musiques prĂ©sĂ©lectionnĂ©es. III/ Les tarifs de la SACEM Si accĂ©der au rĂ©pertoire de la SACEM permet de diffuser plusieurs millions de titres diffĂ©rents, le coĂ»t d’une telle diversitĂ© n’est pas sans consĂ©quence. A Tableau des tarifs de la SACEM Population prĂ©sente dans la ville d’implantation du bar ou du restaurant Contenance du bar ou du restaurant Ville jusqu’à habitants Ville jusqu’à habitants Ville jusqu’à habitants Ville de plus habitants Tarifs spĂ©cifiques pour la ville de Paris De 1 Ă  30 places 478,21 Euros 597,77 Euros 806,97 Euros Euros Euros De 31 Ă  60 places 549,93 Euros 687,44 Euros 928,03 Euros Euros Euros De 61 Ă  100 places 632,43 Euros 790,54 Euros Euros Euros Euros Plus de 100 places 727,27 Euros 909,12 Euros Euros Euros Euros A noter, le tarif applicable est valable pour une annĂ©e. La SACEM rĂ©vise ses tarifs annuellement, avec application au 1er Janvier de l’annĂ©e pour laquelle ils s’appliquent. Par ailleurs, un forfait rĂ©duit existe pour les entreprises qui adhĂšrent Ă  un groupement professionnel ayant signĂ© un accord avec la SACEM. B RĂ©ductions applicables aux tarifs de la SACEM Des rĂ©ductions sont appliquĂ©es au tarif applicable dans certains cas, notamment Si la demande d’autorisation est faite Ă  l’avance, une rĂ©duction de 20% du montant des frais SACEM est applicable ; 50% de rĂ©duction si la diffusion de la musique intervient par le biais d’un unique poste de radio, sans haut-parleur supplĂ©mentaire, et que l’exploitant ne dispose d’aucun lecteur CD, DVD, ou de fichiers numĂ©riques ; 15% d’abattement pour les exploitants de bars ou de restaurants rĂ©alisant un chiffre d’affaires hors taxe annuel infĂ©rieur Ă  Euros ; 25% d’abattement pour les exploitants de bars ou de restaurants rĂ©alisant un chiffre d’affaires hors taxe annuel infĂ©rieur Ă  Euros, et dont l’établissement se trouve dans une ville comptant au maximum habitants. Bars et restaurants Une rĂ©duction est Ă©galement applicable pour les bars et restaurants dont l’activitĂ© est saisonniĂšre. Dans ce cas, le montant du tarif applicable est de 36% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à trois mois par an ; 48% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à quatre mois par an ; 60% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à cinq mois par an ; 72% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à six mois par an ; 84% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à sept mois par an ; 96% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à huit mois ; 100% du tarif de base pour une exploitation sur neuf mois ou plus de l’annĂ©e. Enfin, il existe une rĂ©duction en fonction du nombre de jours d’ouverture du bar ou du restaurant par semaine 25% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à 1 jour d’ouverture par semaine ; 33% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à 2 jours d’ouverture par semaine ; 50% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à 3 jours d’ouverture par semaine ; 66% du tarif de base pour une exploitation allant jusqu’à 4 jours d’ouverture par semaine ; 100% du tarif de base pour une exploitation Ă  partir de 5 jours par semaine ; C Majoration applicable au tarif de la SACEM Une majoration de 50% peut ĂȘtre appliquĂ©e au tarif en vigueur un bar ou restaurant. Cette majoration est applicable si l’établissement dispose de plusieurs appareils de sonorisation dans une mĂȘme piĂšce. NĂ©anmoins, la majoration n’est pas applicable si l’exploitant utilise uniquement deux appareils et que l’un de ceux-ci est un rĂ©cepteur radio. IV/ D’autres frais ? Outre les frais de la SACEM, l’exploitant de bar ou de restaurant souhaitant y diffuser de la musique devra s’acquitter de la redevance SPRE SociĂ©tĂ© pour la Perception de la RĂ©munĂ©ration Equitable. Ainsi, il faudra s’acquitter d’une redevance variant de 99,38 Euros Ă  838,23 Euros. A noter si vous exploitez un restaurant ou un bar Ă  ambiance musicale, vous relĂšverez directement de la SPRE et non pas de la SACEM. Dans ce cas, une redevance annuelle d’un montant minimal de 460 Euros HT est applicable. Un restaurant ou un bar est considĂ©rĂ© comme Ă©tant Ă  ambiance musicale » dĂšs lors que la musique est diffusĂ©e de maniĂšre amplifiĂ©e, et que celle-ci est une composante essentielle de l’activitĂ© commerciale de l’établissement. V/ Quelles alternatives Ă  la SACEM ? Si la SACEM dispose du plus large rĂ©pertoire musical français, le montant de ses tarifs peut ĂȘtre rĂ©dhibitoire pour certains entrepreneurs. Pour cette raison, certains sites proposent aujourd’hui des abonnements permettant de diffuser des musiques prĂ©dĂ©finies sans devoir s’acquitter des droits de la SACEM. Il est Ă©galement possible aux exploitants de bars et de restaurants de diffuser des musiques dites libres de droits ». J’organise un Ă©vĂ©nement qui sera sonorisĂ©, faut-il payer la Sacem ? Si oui, comment ? Pour tout savoir sur cet organisme et sur son fonctionnement, nous vous proposons ce petit guide qui vous aidera Ă  y voir plus clair. La Sacem, qu’est ce que c’est ? La Sacem est une sociĂ©tĂ© civile Ă  but non lucratif gĂ©rĂ©e par ses membres les auteurs, les compositeurs et les Ă©diteurs de musique. Elle gĂšre la collecte et la rĂ©partition des droits d’auteur pour la diffusion publique et pour la reproduction sur support des oeuvres qu’elle reprĂ©sente. De plus, elle dĂ©ploie une politique de soutien Ă  la crĂ©ation qui est l’une des plus importantes au monde. Accompagnement des carriĂšres artistiques, aide Ă  la diffusion des oeuvres et Ă  l’insertion des jeunes professionnels, l’action culturelle est inscrite dans les statuts de la Sacem depuis 1963. Elle a pris une nouvelle dimension avec la crĂ©ation du dispositif de rĂ©munĂ©ration pour copie privĂ©e en 1985. Aujourd’hui, l’action culturelle est financĂ©e Ă  plus de 92% par des ressources issues du 25% de la copie privĂ©e, complĂ©tĂ©es d’une contribution volontaire, dite statutaire, votĂ©e par le conseil d’administration. En 2016, la Sacem a ainsi consacrĂ© millions d’euros Ă  l’action culturelle et apportĂ© son soutien Ă  1 995 projets et actions d’une grande diversitĂ©. Chanson, jazz, rock, musique classique et contemporaine, du monde, urbaine, Ă©lectro, musique Ă  l’image, poĂ©sie, humour, audiovisuel
 cette action culturelle porte sur tous les rĂ©pertoires et profite directement aux crĂ©ateurs, mais aussi aux diffuseurs qui programment ces artistes et font leur promotion. Qui doit payer la Sacem pour un Ă©vĂ©nement festif ? Pour rĂ©pondre Ă  cette question, il faut bien diffĂ©rencier 2 cas de figures Si votre Ă©vĂ©nement est d’ordre privĂ© mariage, baptĂȘme, anniversaire, rĂ©union familiale, fĂȘte entre amis, 
, personne ne doit payer la Sacem. Vous n’avez rien a dĂ©bourser Ă  partir du moment oĂč il n’y a pas de notion de profit. Il s’agit lĂ  d’une soirĂ©e privĂ©e, soyez en absolument sĂ»r ! Si votre Ă©vĂ©nement est dans le cadre d’une soirĂ©e publique clubs, discothĂšques, rave partie, festivals, 
, les organisateurs de l’évĂ©nement doivent se charger de payer la Sacem. Il existe des forfaits pour chaque type d’évĂ©nement et d’endroit, le plus difficile Ă©tant de s’y retrouver. Pour bien comprendre, la SACEM est Ă  payer Ă  partir du moment oĂč il y a une notion de profit autour de votre Ă©vĂ©nement. Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre sur le site de la Sacem. Il faut donc bien diffĂ©rencier les deux types d’évĂ©nements, donc pour tout ce qui concerne les mariages, anniversaires, baptĂȘmes, soirĂ©es entre amis, et autres Ă©vĂ©nements festifs privĂ©es, vous n’avez pas Ă  dĂ©bourser un centime pour la Sacem ! Que dit la loi ? D’aprĂšs la loi, pour ne pas acquitter de droits, ces Ă©vĂ©nements festifs doivent ĂȘtre Ă  la fois privĂ©s, gratuits et limitĂ©s au cercle de famille. La notion de cercle de famille doit s’entendre de façon restrictive et ne concerne que les personnes, parents ou proches unis de façon habituelle par des liens familiaux ou d’intimitĂ© ». Concernant la gratuitĂ©, cela implique que la manifestation ne donne lieu Ă  la rĂ©alisation de recettes quelles qu’elles soient. En cas de doute, n’hĂ©sitez pas Ă  prendre contact avec votre dĂ©lĂ©gation Sacem la plus proche. Conclusion Maintenant que vous avez ces informations, vous pourrez ĂȘtre plus serein pour organiser convenablement votre rĂ©ception et en toute lĂ©galitĂ© ! D’ailleurs, si vous recherchez un DJ Animateur Professionnel pour animer et sonoriser votre Ă©vĂ©nement festif, nous vous proposons des prestataires dans la France entiĂšre, vous n’avez plus qu’a faire votre choix Je recherche un DJ Animateur Le droit d'auteur des artistes et la SACEMAssez naturellement, le crĂ©ateur d'une Ɠuvre de l'esprit comme l'est une musique dĂ©tient des droits sur sa crĂ©ation. La SACEM est chargĂ©e de rĂ©colter les droits d'exploitation des artistes qui y ont droit d'auteur en matiĂšre de crĂ©ation musicaleQuand un artiste compose ou interprĂšte une Ɠuvre, il fait naĂźtre des droits sur elle. Il s'agit lĂ  d'un principe fondamental, qui s'applique aussi bien aux inventeurs qu'aux Ă©crivains ou aux infographistes. Plus prĂ©cisĂ©ment, la paternitĂ© de l'artiste sur son Ɠuvre lui donne, sur elle, un droit de propriĂ©tĂ©. Cela est prĂ©vu par le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, qui encadre la diffusion et l'utilisation des Ɠuvres musicales. Il est donc nĂ©cessaire d'obtenir, en amont, l'accord des titulaires des droits avant d'utiliser une droit de propriĂ©tĂ© se dĂ©compose en deux droits complĂ©mentaires un droit moral, c'est-Ă -dire une propriĂ©tĂ© intellectuelle sur son Ɠuvre, et un droit patrimonial, c'est-Ă -dire la possibilitĂ© pour l'artiste d'exploiter commercialement son Ɠuvre et d'obtenir une rĂ©munĂ©ration si elle est diffusĂ©e par l'article du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, l'auteur d'une Ɠuvre est le seul Ă  pouvoir exploiter son Ɠuvre et en choisir les modalitĂ©s d'exploitation. Autrement dit, il dispose comme bon lui semble de son Ɠuvre. Il peut la garder pour lui, toucher des droits d'auteur quand elle est diffusĂ©e, ou au contraire permettre Ă  n'importe qui d'en disposer Ă  sa guise, pour une utilisation commerciale ou non. Ce droit peut ĂȘtre cĂ©dĂ© et faire l'objet d'une succession. Surtout, l'auteur est libre de choisir d'exercer ce droit d'exploitation de son Ɠuvre par lui-mĂȘme – c'est la musique libre – ou de maniĂšre collective, comme par exemple, en adhĂ©rant Ă  la rĂŽle de la SACEM et le paiement des droitsComme nous l'avons dit plus tĂŽt, la SACEM pour SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique dĂ©tient en France un quasi-monopole sur la collecte des redevances relatives au droit d'auteur des artistes. Il s'agit d'un organisme Ă  but non-lucratif, dont la mission consiste Ă  reverser aux ayants droit, artistes ou labels les droits d'exploitation qui leur sont dus, aprĂšs les avoirs collectĂ©s directement auprĂšs des personnes sollicitant l'utilisation de leurs musiques. Autrement dit, la SACEM joue un rĂŽle d'intermĂ©diaire entre propriĂ©taires et exploitants. DĂšs lors, si le propriĂ©taire d'une Ɠuvre a adhĂ©rĂ© Ă  la SACEM, le seul moyen Ă  votre disposition pour pouvoir la diffuser est de faire une demande auprĂšs d'elle et de payer d'importantes royalties qui reviendront Ă  l'artiste par son intermĂ©diaire. Il vous faudra vous acquitter de ces modalitĂ©s trĂšs contraignantes pour toute diffusion musicale publique, c'est-Ă -dire, qui n'entre pas dans le champ de l'exception prĂ©vue par le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle des reprĂ©sentations privĂ©es et gratuites effectuĂ©es exclusivement dans le cercle de famille ».Utiliser une musique protĂ©gĂ©e sans payer les droits ? Une mauvaise idĂ©eLe coĂ»t des redevances SACEM est trĂšs dissuasif pour les entrepreneurs et les crĂ©ateurs, surtout les auto-entrepreneurs et les PME, qui n'ont pas de remises proportionnellement intĂ©ressantes au vu de leur taille rĂ©duite. S'ils veulent agrĂ©menter leur expĂ©rience client de musique ou crĂ©er un montage vidĂ©o avec fond musical, ils doivent dĂšs lors consacrer une part importante de leur budget Ă  ces droits SACEM. Cela est aussi le cas pour la simple utilisation d'une musique pour une mise en attente tĂ©lĂ©phonique, et mĂȘme, pour son utilisation dans l'espace de travail des salariĂ©s ! Il est donc tentant de ne pas dĂ©clarer l'utilisation des musiques du rĂ©pertoire de la SACEM Ă  cette derniĂšre, pour faire de grosses Ă©conomies. Mais il s'agit souvent d'un trĂšs mauvais calcul ! Si la SACEM le dĂ©couvre, elle appliquera une tarification majorĂ©e. Pire, le non-respect de cette double obligation de dĂ©claration et de paiement de la redevance sur la diffusion de musique est constitutif du dĂ©lit – sĂ©vĂšrement rĂ©primĂ© – de contrefaçon. La personne qui a failli Ă  son obligation s'expose alors Ă  une peine de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 € d'amende !Comprendre les musiques libres de droits et leurs avantagesFace Ă  ce tableau peu encourageant qui perdurait depuis des dizaines d'annĂ©es, une alternative vĂ©ritablement intĂ©ressante a Ă©mergĂ© la musique libre de droits. Beaucoup moins onĂ©reuse, il est aussi beaucoup plus facile de la diffuser en toute lĂ©galitĂ© !DĂ©finition de la musique libre de droitsL'appellation comporte une grande ambiguĂŻtĂ©, qu'il nous faut dissiper dĂšs maintenant musique libre de droits n'est pas synonyme de musique gratuite. Mais alors, Ă  quoi cette notion renvoie-t-elle ? Le terme libre fait rĂ©fĂ©rence Ă  l'exploitation par l'auteur de sa crĂ©ation. Autrement dit, une musique libre de droits est une crĂ©ation musicale dont l'artiste gĂšre l'exploitation lui-mĂȘme, sans passer par un intermĂ©diaire comme la SACEM. LibĂ©rĂ©s des sociĂ©tĂ©s de gestion des droits d'auteur, les artistes qui choisissent ce modĂšle ont une grande libertĂ© dans la dĂ©termination des modalitĂ©s d'utilisation de leur crĂ©ation ils peuvent autoriser ou non la reproduction de son contenu, sa modification, ses usages – commerciaux ou privĂ©s – et, finalement, dĂ©terminer les prix et les conditions pour chaque type d'utilisations autorisĂ©es. Parmi les musiques libres, on compte Ă©galement les Ɠuvres tombĂ©es dans le domaine public. En effet, en droit français, une Ɠuvre de l'esprit tombe dans le domaine public aprĂšs expiration d'un dĂ©lai standard de 70 ans, ou si l'artiste choisit de la placer dĂšs le dĂ©but dans le domaine public. Il est donc possible de l'exploiter librement, sans autorisation prĂ©alable et de maniĂšre vu du nombre impressionnant de paramĂštres sur lesquels les auteurs ont la mainmise, le risque Ă©tait que ceux voulant diffuser de la musique soient complĂštement perdus dans des conditions juridiques d'utilisation toujours diffĂ©rentes et difficilement comprĂ©hensibles. Bienheureusement, les licences Creative Commons sont venues mettre de l'ordre. Si rien ne contraint l'auteur Ă  les utiliser, elles ont le mĂ©rite d'apporter de la clartĂ© et de la simplicitĂ© aux deux camps les artistes et les personnes exploitants les Ɠuvres musicales. Leur fonctionnement est assez simple. L'organisation Ă  but non-lucratif Creative Commons a construit des licences préétablies et sĂ©curisĂ©es juridiquement. Pour chaque type d'utilisation de sa musique, l'auteur n'a donc plus qu'Ă  choisir la licence qui lui paraĂźt la plus adaptĂ©e. Par exemple, il peut dĂ©cider que l'utilisation non-commerciale de sa musique sera sous une des licences gratuites Creative Commons, alors que son exploitation commerciale rĂ©pondra Ă  une autre licence, lui permettant d'ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ©. Ainsi, vous ĂȘtes libre d'utiliser la musique en question, du moment que vous respectez les termes du contrat de licence choisi par l'auteur, sans verser ensuite de royalties Ă  un organisme comme la SACEM. Le prix de la musique libre de droits est principalement dĂ©terminĂ© par les modalitĂ©s de la licence, comme par exemple la durĂ©e d'exploitation de la musique, la nature de cette exploitation ou les supports employĂ©s. Au contraire, pour les musiques relevant de la SACEM, le principal facteur faisant enfler les factures, c'est la renommĂ©e de l' utiliser des musiques libres de droits ?Certes, en utilisant de la musique libre de droits, vous renoncez Ă  diffuser dans votre magasin ou dans vos vidĂ©os le dernier tube du moment, celui que votre clientĂšle connaĂźt dĂ©jĂ  et apprĂ©cie. En outre, vous n'aurez aucune exclusivitĂ© sur les titres diffusĂ©s et ils n'auront pas Ă©tĂ© Ă©crits pour vous. DĂšs lors, il est possible que vous soyez amenĂ© Ă  faire quelques compromis sur l'identitĂ© sonore de votre boutique ou de votre crĂ©ation. Et pourtant ! Il s'agit lĂ  de dĂ©savantages trĂšs relatifs au regard de l'incroyable flexibilitĂ©, du bas coĂ»t et du rapport qualitĂ© prix imbattable de cette solution. Pour quelques dizaines d'euros Ă  peine, vous pouvez acquĂ©rir le droit d'exploiter le morceau qui vous plaĂźt le plus, parmi un trĂšs large catalogue, mis Ă  jour en permanence et dans tous les styles musicaux. Parfois, il est mĂȘme possible de trouver des artistes de renommĂ©es mondiales ayant choisi ce mode de diffusion. La procĂ©dure est vraiment plus simple que dans le cas de la SACEM fini les contrats compliquĂ©s, place au shopping en ligne de droits d'exploitation des musiques ! Enfin, ce moyen d'acquĂ©rir des musiques est bien plus logique Ă  l'Ă©poque du streaming, de l'internet libre et du piratage, oĂč les labels et les droits SACEM paraissent bien Music Shop, votre site de rĂ©fĂ©rence pour les musiques libres de droitConvaincus par la musique libre de droits et ses nombreux avantages ? Vous voulez passer Ă  l'action en achetant vos premiers titres ou simplement Ă©couter des exemples de titres disponibles ? Creative Music Shop est lĂ  pour vous !Toutes les musiques sur Creative Music Shop sont libres de droitIl n'est pas toujours aisĂ© de dĂ©terminer si une musique est rĂ©ellement libre de droits. Plusieurs techniques complĂ©mentaires peuvent ĂȘtre mobilisĂ©es pour tenter de vous en assurer. La plus connue consiste Ă  rechercher le titre en question sur la plateforme Youtube en utilisant le filtre Creative Commons. NĂ©anmoins, c'est une technique un peu hasardeuse certains youtubeurs attribuent, un peu vite, une licence Creative Commons Ă  des pistes musicales pourtant soumises Ă  une gestion collective des droits d'auteur. Pour ĂȘtre certain que la musique que vous souhaitez utiliser est vĂ©ritablement libre de droits, vous devrez donc vous renseigner directement sur le site de l'auteur et, le cas Ă©chĂ©ant, le contacter directement. Il serait plus simple d'utiliser notre catalogue ! Vous y retrouverez le meilleur choix de musiques libres de droits, prĂ©sĂ©lectionnĂ©es par nos monteurs pour qu'elles s'adaptent facilement Ă  vos projets. Vous allez gagner beaucoup de temps dans le processus – parfois long et laborieux – de recherche de la musique idĂ©ale pour votre projet. SpĂ©cialistes dans l'adĂ©quation entre la musique et l'image, vous ĂȘtes assurĂ© de trouver chez nous des musiques tendances, qui plairont Ă  votre audience. Tous les artistes que vous retrouvez sur notre site ont signĂ© avec nous un contrat d'enregistrement exclusif ou contrat d'artiste. Elles sont donc Ă  la fois Royalty-free, c'est-Ă -dire que tous les droits d'Ă©dition et associĂ©s ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©glĂ©s, mais aussi et surtout, libres de droits de la SACEM. En effet, nos auteurs ne sont jamais adhĂ©rents Ă  la SACEM ou Ă  toute autre sociĂ©tĂ© de gestion collective des droits d'auteur. Cela signifie que personne ne pourra, par la suite, vous rĂ©clamer des droits d'auteur. Vous restez seulement redevable, le cas Ă©chĂ©ant, de la RĂ©munĂ©ration Ă©quitable perçue par la SociĂ©tĂ© de Perception de la RĂ©munĂ©ration Équitable SPRE, qui est collectĂ©e pour toute sonorisation de lieu public tels que commerce, bar/restaurant, grande distribution mais aussi salle d'attente, de jeux, couloirs, etc.Toutes les musiques libres de droit vendues sur le site sont des musiques libre de droits d’auteur n’excluant pas le rĂšglement de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable dans les conditions de l’Article L. 214-1 et suivants du Code de la PropriĂ©tĂ© Intellectuelle, ce qu’il appartient Ă  l’acheteur/utilisateur de dĂ©terminer, sans responsabilitĂ© Ă  cet Ă©gard du prĂ©sent des musiques de Creative Music ShopGrĂące Ă  la simplicitĂ© de notre service, vous ĂȘtes Ă  l'abri des nombreux soucis que reprĂ©sente une dĂ©marche auprĂšs de la SACEM. La musique libre de droits est simple d'utilisation, nous l'avons dĂ©jĂ  dit. Elle l'est encore plus avec Creative Music Shop. Notre fonctionnement est trĂšs simple vous choisissez le ou les titres qui vous intĂ©resse, vous les rĂ©glez directement sur notre site Internet et, immĂ©diatement, vous recevez votre fichier WAV haute-fidĂ©litĂ© ainsi que les droits d'exploitation de l'Ɠuvre. Les limites Ă  cette utilisation ne sont pas trĂšs contraignantes, mais doivent ĂȘtre signalĂ©es. Pour commencer, vous ne devenez pas le propriĂ©taire de l'Ɠuvre. Sauf mention contraire, nous restons seuls titulaires des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle sur les fichiers musicaux. Ensuite, vous ne pouvez pas revendre la musique achetĂ©e, mĂȘme modifiĂ©e. Enfin, vous ne pouvez pas transfĂ©rer votre licence d'utilisation Ă  autrui, mĂȘme Ă  votre client si vous diffusez la musique pour son compte. En dehors de ces utilisations prohibĂ©es, votre licence d'utilisation vous donne une grande flexibilitĂ© dans l'exploitation de la musique achetĂ©e ! Vous pourrez l'utiliser comme vous le voulez, pour tous vos projets. Vous ĂȘtes libres de reproduire, rediffuser ou rĂ©utiliser le fichier musical achetĂ© sous quelque forme que ce soit. Cela inclut, par exemple, la possibilitĂ© de modifier le fichier pour l'incorporer dans une Ɠuvre dĂ©rivĂ©e, comme par exemple une musique d'attente tĂ©lĂ©phonique ou encore un long-mĂ©trage. Enfin, vos droits d'exploitation sur l'Ɠuvre sont sans limitation de durĂ©e. EXPLICATIONS, MÉTHODES ET FRAIS Article mis Ă  jour en Mars 2019 Il existe plusieurs mĂ©thodes pour s'inscrire Ă  la SACEM SociĂ©tĂ© des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique. Rappelons que la SACEM est une sociĂ©tĂ© de protection et de gestion de droits d'auteur tous droits confondus auteur, compositeur, arrangeur, adaptateur et Ă©diteur.Peu de gens le savent, mais nous ne sommes pas obligĂ©s de passer par la mĂ©thode traditionnelle pour s'y inscrire, mĂ©thode longue et fastidieuse Elle consiste Ă  diffuser 5 oeuvres minimum au sein de six lieux publics minimum, sur une pĂ©riode de plus 6 mois, il faudra donner les preuves de ces diffusions avec des certificats dĂ©livrĂ©s par chaque organisme avec tampon et signature. Le temps d'inscription prend alors un temps considĂ©rable, vous prendrez six mois pour ĂȘtre diffusĂ© sachant que la SACEM mettra 2 mois Ă  vous rĂ©pondre suite Ă  l'envoie de votre dossier et au conseil pĂ©riodique. Si votre dossier est acceptĂ©, ils ne vous enverront votre carte de membre et l'acceptation de votre inscription que deux ou trois mois aprĂšs votre paiement. Soit, cette mĂ©thode prendra presque un an, mais heureusement, surtout quand on se professionnalise, il n'y pas que cette mĂ©thode pour s'inscrire. Nous allons dĂ©crire deux mĂ©thodes permettant de s'inscrire le plus rapidement possible, pour les deux en un trimestre maximum. Dans tous les cas, sachez que pour adhĂ©rer Ă  la SACEM un formulaire est Ă  remplir et vous devrez payer 154€ 144€ de frais d'adhĂ©sion et 10€ de part sociale pour devenir sociĂ©taire et toucher vos droits, par chĂšque ou en espĂšce. MÉTHODE RAPIDE N°1 Vous ĂȘtes distribuĂ© digitalement Lorsque vous ĂȘtes distribuĂ© digitalement, que ce soit par le biais de Tunecore, iMusician, Rebeat ou tout autre distributeur / agrĂ©gateur digital, le procĂ©dĂ© sera beaucoup plus rapide. Rappelons que la distribution digitale de musique, aujourd'hui accessible Ă  tous, permet de mettre en vente sa musique ou en Ă©coute sur la quasi totalitĂ© des plateformes digitales de vente et streaming de musique telles que Deezer, Spotify, La FNAC, Virgin Music, ITunes, Playstore, etc... Lorsqu'il y a commercialisation d'une oeuvre musique que ce soit digitalement ou physiquement, cette oeuvre peut ĂȘtre protĂ©gĂ©e. Ainsi, vous pouvez remplir le dossier d'adhĂ©sion de la SACEM et vous inscrire en protĂ©geant l'oeuvre en question. Je vous conseille tout de mĂȘme de dĂ©poser 4 oeuvres supplĂ©mentaires afin de ne prendre aucun risque et de prouver le sĂ©rieux de votre dĂ©marche. A la suite de cette dĂ©marche, vous serez donc "sociĂ©taire" SACEM et pourrez dĂ©clarer toutes vos musiques !Il faudra simplement remplir le formulaire d'adhĂ©sion et fournir une capture d'Ă©cran imprimĂ©e donnant la preuve de la commercialisation de votre ou vos musiques capture de la page de vente de vos musiques sur une ou plusieurs des plateformes. En ce qui me concerne cĂŽtĂ© distribution digitale, aprĂšs avoir testĂ© de nombreux agrĂ©gateurs digitaux libres, mon prĂ©fĂ©rĂ© pour des raison de sĂ©rieux cĂŽtĂ© SAV, prix au long terme et qualitĂ© globale des services est actuellement iMusician, une sociĂ©tĂ© Suisse au grand avenir ! MÉTHODE RAPIDE N°2 L'oeuvre est diffusĂ©e et monĂ©tisĂ©e Cette mĂ©thode est la plus simple et en plus elle ne demande pas de frais supplĂ©mentaires sachant que toute distribution digitale impliquera un minimum de 10€ de frais, vous payerez seulement l'inscription elle mĂȘme. Lorsqu'une musique est diffusĂ©e en incluant une publicitĂ©, elle peut ĂȘtre protĂ©gĂ©e par un organisme officiel comme la SACEM. Nous allons alors nous tourner vers notre plus grande plateforme de mise en ligne de vidĂ©o au monde, la plus accessible, la plus simple et la plus populaire YOUTUBE !Il faut alors mettre en ligne une musique sur YOUTUBE avec en titre le nom du compositeur arrangeur et auteur si nĂ©cessaire en description, le nom de la musique et en fournir la capture d'Ă©cran, quelque soit l'image diffusĂ©e durant le dĂ©filement de la vidĂ©o. Pour ne pas prendre de risque de refus, il vaut mieux que la vidĂ©o soit "monĂ©tisĂ©e" mĂȘme si ça n'a pas Ă©tĂ© nĂ©cessaire pour beaucoup des artistes avec qui j'ai travaillĂ© et/ou qu'elle ait un certain nombre de vues. Par contre, rĂ©cemment, la SACEM Ă  changĂ© les rĂšgles du jeu Il faut que la musique soit sur Youtube depuis plus de 6 mois. Et attention Pendant le dĂ©roulement de votre inscription, ne changez pas le titre ni la description de la vidĂ©o !Les personnes connaissant cette technique sont trĂšs rares mais vous en faites maintenant contre, comme dit prĂ©cĂ©demment, il faudra quand mĂȘme payer l'inscription et remplir le formulaire traditionnel. Si vous n'avez pas de musiques dĂ©jĂ  prĂ©sentes sur YOUTUBE, vous pouvez les y ajouter dans le but de protĂ©ger vos oeuvres et de vous inscrire. Comme pour la prĂ©cĂ©dente mĂ©thode, prĂ©fĂ©rez dĂ©poser 4 autres musiques en mĂȘme temps que celle prĂ©sente sur Youtube pour ne pas prendre de risque, une fois de plus, ça prouvera le sĂ©rieux de votre dĂ©marche et un dĂ©sir de professionnalisation. MAIS EN ATTENDANT... Vous me direz que durant la pĂ©riode de votre inscription, vous prendrez quand mĂȘme le risque de vous faire voler vos musiques ?Le mieux restera en attendant quand mĂȘme d'utiliser la plus vieille et simple technique de protection de propriĂ©tĂ© intellectuelle Vous envoyer Ă  vous mĂȘme un courrier en recommandĂ© par la poste dans lequel se trouvera - Le CD audio gravĂ© contenant toutes vos oeuvres ;- La liste des musiques dans l'ordre avec les numĂ©ros de piste, leur durĂ©e, le tout sur une feuille avec la signature de tous les collaborateurs auteur, compositeur, arrangeur, etc... ;- Les textes signĂ©s de la main de l'auteur. Pour que cette enveloppe ai une valeur d'un point de vue juridique, il ne faudra surtout pas l'ouvrir Ă  rĂ©ception et la garder en cas de procĂ©s. Le juge ouvrira l'enveloppe le jour du procĂšs, elle sera la preuve que les oeuvres vous appartenaient le jour de rĂ©ception... Si vous avez des questions, n'hĂ©sitez pas Ă  les poster en commentaire. INFOS UTILES SUR LA SACEM Adresse 225, Avenue Charles de Gaulle92200 Neuilly-sur-SeineNumĂ©ro de tĂ©lĂ©phone 01-47-15-47-15 Site internet

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