Alain Luxembourgeois et passionné de pêche à la mouche, était en vacances dans Les Pyrénées. Une halte de quelques jours sur La Pallaresa avec au programme, de la pêche à la mouche en sèche pour lui et belles balades et farniente pour Jeanine, son épouse: Séance bas de ligne.
Pêcheà la truite. L'amicale du Vieux-Moulin organise ses deux journées de pêche à la truite samedi 28 et dimanche 29 juin dans le ruisseau des Granges,
LaTruite de rivière. 19,95 €. Auteur : Charles Gaidy. La truite de rivière a toujours fasciné le pêcheur. Et le pêcheur de truite a toujours été considéré comme un grand pêcheur. Grâce à cet ouvrage, le lecteur apprendra à mieux connaître cette
Denombreux amateurs de pêche pensent à l’Irlande pour se faire un petit voyage découverte, culture et pêche, et ils ont bien raison. Bien que je ne sois pas pêcheur personnellement, j’ai fait quelques recherches et me suis renseigné autour de moi afin de vous préparer un petit guide qui vous permettra de bien préparer votre séjour.
Sivous parlez autour de vous de la pêche à la mouche noyée sur les rivières. une des réponse qui revient souvent est « ouais la noyée c’est une méthode de pêche vieillotte ». Écoutez-moi un instant et je vous en ferai profiter. de cette technique de pêche old school mais terriblement efficace.
CAPERLAN Waders de Pêche 500 Respirants Chaussons. Nos concepteurs pêcheurs ont développé ces waders pour vous permettre de pêcher en wading en restant au sec jusqu'à la poitrine tout au long de l'année. (1) Disponible en
oos4. Pour la fête de la pêche, l'association Lapalisse -Châtel-Montagne organise la Pêche de la truite Fario, de 8 heures à 12 heures, avec le prêt du matériel de pêche et encadré par les membres de l'AAPPMA pour les initier à la pêche de la truite Fario, Le secteur sera balisé pour cette opération et un alevinage important sera réalisé sur la Besbre. Où ? au Quai de Besbre Lapalisse Quand ? Le dimanche 5 juin à 0800 Loisirs la newsletter spéciale Chaque semaine, recevez une sélection d'événements autour de vous, dans votre boîte mail ! Je m'inscris
Trouver un lieu de pêche appropriéComment reconnaître les lieux qui abritent une population de truites ? Pas facile quand on débute et que personne dans votre entourage ne s’intéresse à la pêche. Le premier réflexe est de regarder son permis de pêche ou la carte de votre département recensant les rivières et les lacs cette carte vous est normalement fournie au moment de l’achat de votre permis de pêche avec de la documentation pour que vous soyez informé de la réglementation dans votre département.Vous constaterez que les rivières sont classées en deux catégories. On distingue les rivières de première catégorie et de deuxième catégorie. Pour faire simple, les rivières de première catégorie ont une eau de meilleure qualité que celles de seconde catégorie. De fait, elles abritent une faune aquatique plus exigeante en oxygène comme les truites, les goujons ou les vairons par exemple. C’est donc dans les rivières de première catégorie que vous devrez aller pêcher pour avoir un maximum de chances de rencontrer des truites. Les rivières de seconde catégorie en abritent également mais c’est plus pouvez également pêcher la truite dans les lacs de montagne. Mais tous les départements en France ne sont pas que vous avez ciblé la rivière de votre choix, nous allons voir ensemble quels sont les différents postes susceptibles d’abriter une pêcher une fois au bord de l’eau ?Nous voilà à présent face à la rivière. A ce stade nous devons préciser le type de rivière où nous nous trouvons. Nous distinguons les petites rivières les torrents de montagne, les ruisseaux et les rus des moyennes et grandes rivières la Dordogne, l’Allier, les Gaves pyrénéens par exemple car l’approche et le matériel utilisé seront connaître les postes est une condition nécessaire mais pas suffisante pour attraper une truite. Il y a deux autres paramètres à prendre en compte les conditions climatiques et la période de la saison. Ces deux paramètres vous permettront de déterminer l’habitat précis et le comportement alimentaire de la et le comportement alimentaire de la truiteTentons à présent de comprendre comment la truite se comporte et se nourrie pour pêcher au bon moment au bon est rare, en effet, qu’une truite occupe le même poste durant toute une saison. Elle adapte son comportement en fonction des variations climatiques. Les conditions climatiques guident en général le comportement alimentaire de la début de saisonEn début de saison mois de Mars, les eaux sont froides de trois à six degrés environ et les truites sont peu enclines à se déplacer car chacun de leur déplacement se chiffre en perte de précieuses calories dont elles ont besoin pour survivre durant cette période zones de calmeA la fin de l’hiver, les truites sont affaiblies. Elles seront même très faibles si l’hiver a été rude et qu’elles n’ont pas pu se nourrir correctement. Elles ont du faire, pour certaines, beaucoup d’efforts pour remonter les rivières pour pondre leurs œufs et résister aux températures très basses de la rivière. Lorsque les eaux sont froides, les truites essayent de produire le minimum d’efforts dans le but de s’économiser le plus déplacement est fortement coûteux en calories. Les truites sont souvent assez maigres à cette période de l’année et n’ont pas la force de résister à la pression exercée par le courant. Voilà pourquoi elles vont rechercher et occuper prioritairement des zones de calme, à l’abri du courant. Néanmoins, le courant n’est jamais situé bien loin car le courant c’est ce qui apporte la début de saison, c’est donc à proximité des berges et dans les endroits où le lit de la rivière se creuse qu’il faudra poser son appât. Lorsque la rivière présente un débit élevé ce qui est fréquent à cette période de l’année en raison des précipitations abondantes et de la fonte des neiges pour certaines rivières de moyenne montagne, le courant au centre de la rivière s’accélère. C’est proche des berges que le courant est le moins fort. Par conséquent, les truites se posteront au ras des berges, souvent creuses, afin d’attendre, en économisant leurs efforts, la nourriture que le courant leur apporte. Outre les berges, il faudra rechercher les truites dans les zones profondes où, là encore, la pression du courant est moins forte. Les truites sont tapies sur le fond et se nourrissent exclusivement au fond de la rivière. Les vers qui tombent accidentellement dans l’eau, à cause du ruissellement des eaux et de la dégradation des berges, sont des appâts à privilégier, surtout en début de outre, tout ce qui a pour effet de casser le rythme du courant, comme les piles de pont ou les gros blocs rocheux par exemple, sont de nature à abriter une truite en début de saison. Les truites occupent, sauf cas exceptionnel, l’aval de ces distance de stimulationA cause des précipitations, parfois abondantes en début de saison, de la fonte des neiges qui commencent dans les rivières de basse et moyenne montagnes, il n’est pas rare de pêcher dans une eau teintée ». La truite se sert principalement de sa vision pour se nourrir. Or, dans une eau teintée, son champ de vision est amoindri. Par conséquent, plus la rivière sera teintée, plus le champ de vision de la truite sera réduit. Seuls les appâts passant à proximité d’elle seront visibles et donc susceptibles d’être mangés. Ainsi, la truite ne se nourrira que des appâts qui passeront à proximité d’ coloration des eaux mais aussi la faiblesse de la température des eaux expliquent le comportement léthargique des truites en début de saison. Le pêcheur devra donc se montrer extrêmement précis dans la dérive de son appât et le faire passer au plus près de la truite et le plus lentement possible afin de stimuler son appétit. Si l’appât venait à passer trop loin de la truite, celle-ci ne daignera pas faire d’efforts pour s’en saisir, d’autant plus qu’elle ne le voit pas toujours. Chaque déplacement coûte à la truite de précieuses calories. La truite ne se déplace donc pas pour rien. Pour qu’une truite décide de faire l’effort de se déplacer afin d’acquérir une proie, il faut que cette proie en vaille la peine. Autrement dit, la proie devra être relativement consistante. Ce que la truite perd en énergie en se déplaçant, elle espère le regagner en capturant une belle le cas contraire, où la proie n’est pas assez consistante, la truite ne fera que la regarder passer. Une truite préfèrera se déplacer une seule fois dans la journée, pour s’emparer d’une proie volumineuse, que plusieurs fois, pour s’emparer de diverses petites proies. A égale distance de présentation, un vairon sera jugé plus intéressant » qu’une teigne, par exemple, notamment en début de saison. Mais cela ne veut pas dire que le vairon est un appât plus performant que la teigne en début de saison. Certains pêcheurs font de très belles pêches à l’ouverture en utilisant la teigne comme appât. Le plus important, c’est la précision avec laquelle le pêcheur va présenter son appât, qu’il soit gros ou petit. Une teigne passant à 50 centimètres d’une truite peut la laisser de marbre alors que le même appât passant à 20 centimètres déclenchera une attaque. C’est ce que l’on appelle la distance de réchauffement des eauxAvec l’apparition des premiers rayons de soleil, et surtout des premières chaleurs, le comportement des truites change. Peu à peu, elles commencent à sortir de leur léthargie hivernale et à se printempsLa grande majorité des pêcheurs de truite est unanime pour dire que la meilleure période pour pêcher la truite est sans aucun doute les mois de mai et de juin. Avec le réchauffement des eaux, les truites sont de plus en plus actives. Les premiers rayons de soleil, qui réchauffent la surface de l’eau, font remonter les truites en surface. L’arrivée des beaux jours rend les eaux plus limpides et plus basses, et les truites sont plus à même d’apercevoir ce qui se passe à la surface de l’eau. Or, cette période coïncide avec l’éclosion de nombreux insectes. Les truites vont donc essentiellement avoir une activité de surface pour gober les ailleurs, si les truites se déplacent plus, grâce au réchauffement des eaux, cela signifie aussi qu’elles seront plus enclines à faire un effort pour s’emparer d’une proie. Elles seront donc moins regardantes quant à la précision avec laquelle le pêcheur présentera son appât. Voilà pourquoi les touches seront plus le réchauffement des eaux a des limites sur l’activité des truites. En été juillet - août, les eaux se réchauffent de plus en plus, jusqu’à atteindre une température maximale, à la limite du supportable pour les truites parfois. En période de canicule, les eaux peuvent atteindre une température supérieure à 20 degrés. Or, les truites recherchent avant tout, durant cette période, des eaux fraîches et surtout bien oxygénées. Au-delà de 20 degrés, les truites peuvent se retrouver incommodées et arrêter de se nourrir tant que la température de l’eau ne diminue en surface que la température de l’eau est la plus élevée. Les truites vont donc chercher à se poster dans les courants vifs, peu profonds, bien oxygénés, ou alors dans les zones profondes, à l’ombre, là où la température est la plus clémente. Le pêcheur devra donc les rechercher tôt le matin ou en fin de journée, c'est-à -dire au moment où les températures sont favorables à l’activité alimentaire des truites. Les dessous de branches constituent également un excellent poste. En période de canicule, les truites se nourrissent essentiellement la nuit. Elles ont, par conséquent, une activité alimentaire réduite en moins de Septembre, les eaux commencent à se rafraîchir et la truite retrouve un comportement alimentaire normal », non réduit aux extrémités de la risque alimentaireLa truite, lorsqu’elle se nourrit, prend inévitablement un risque. Cela est particulièrement vrai pour les petites truites qui, pour être rassasiées, ingèrent de nombreuses petites proies au cours d’une même journée éphémères, diptères, trichoptères, plécoptères. Cela offre autant d’opportunités au pêcheur de pouvoir les leurrer. Il s’agit par conséquent d’une faiblesse de la truite vis-à -vis de la pêche et du pêcheur. Par contre, les truites adultes piscivores n’adoptent pas le même comportement dans la mesure où elles peuvent se contenter d’une seule proie volumineuse par jour vairon. Le risque alimentaire est donc moins élevé pour les grosses truites que pour les qu’il faut retenirEn début de saison, les eaux sont froides et les truites peu enclines à se déplacer. Elles se postent généralement près du fond de la rivière, dans les zones de calme, à l’abri du courant mais jamais très loin de celui-ci. Le pêcheur devra faire dériver son appât très proche de la truite si il veut qu’elle s’en saisisse. Avec l’arrivée des beaux jours, les eaux se réchauffent et les truites se déplacent de plus en plus dans la rivière pour se nourrir. Les touches seront alors plus nombreuses. Mais en été, lorsque les eaux deviennent trop chaudes, les truites restreignent leur activité alimentaire la nuit, tôt le matin et recherchent des zones à l’abri de la chaleur sous les branches, dans les courants, dans les zones profondes…. La fin de saison s’accompagne d’un rafraîchissement des eaux et d’une reprise normale de l’activité alimentaire des conditions climatiquesLes conditions climatiques influenceraient pour une part importante le comportement alimentaire de la truite. En début de saison, les eaux sont froides et la truite se déplace peu pour se nourrir. Avec l’arrivée des beaux jours, les eaux commencent à se réchauffer et l’activité de la truite devient de plus en plus importante, mais elle tend à se ralentir dès lors que les eaux deviennent trop chaudes. C’est fréquemment le cas en période de fortes chaleurs. La truite cesse alors de s’alimenter durant la journée. C’est tôt le matin ou pendant la nuit qu’elle cherchera à se nourrir. Lorsque les eaux commencent à se rafraîchir, en fin de saison, la truite retrouve une activité alimentaire des incidences climatiques à court terme peuvent avoir des répercussions sur le comportement alimentaire de la truite. Ce serait notamment le cas de la lune, du vent et des de la lune ?La lune a-t-elle une influence quelconque sur le comportement alimentaire de la truite ? Certains pêcheurs pensent que oui et n’hésitent pas à ne pas se rendre au bord de l’eau lorsqu’ils jugent que la lune n’est pas bonne. D’autres pensent que non car cette théorie n’aurait aucun fondement comment savoir si la lune est favorable à la pêche ou pas ? Ceux qui croient en l’influence de la lune avancent que la période de pleine lune serait défavorable à la pêche alors que la nouvelle lune serait effet, la truite se sert essentiellement de sa vision pour se nourrir. Or, en période de pleine lune, la luminosité est importante, plus encore si le ciel est dégagé. Par conséquent, la truite disposera d’un éclairage suffisant dans l’eau pour pouvoir gober les insectes qu’elle discerne parfaitement à la surface de l’eau. Il est possible que la truite mette à profit cette période faste pour s’alimenter il faudra quelques heures à une truite qui s’est nourrie pendant la nuit pour digérer son festin. Autant de temps pendant lequel la truite ne sera pas mordeuse. Ainsi, il ne serait pas souhaitable de pêcher un lendemain de pleine lune car les truites sont déjà gavées » de nourriture et ne mordront pas à l’appât du en période de nouvelle lune, la pêche serait favorable. En effet, durant cette période, la luminosité est plutôt faible et la truite n’a qu’une faible visibilité dans l’eau, plus faible encore si le ciel est couvert. Les truites ne peuvent donc pas apercevoir les insectes en surface et ne prendront aucun risque pour aller chercher de la nourriture à cause des prédateurs éventuels. Elles préféreront attendre que le jour se lève et une luminosité plus conséquente pour se nourrir. Ainsi, pêcher les lendemains de nouvelle lune s’avèrerait favorable dans la mesure où l’activité alimentaire de la truite coïnciderait avec le moment où le pêcheur se trouve au bord de l’eau. Les touches seraient ainsi plus il ne s’agit que d’un point de vue, certes à prendre en compte mais de manière non exclusive car il ne s’agit pas d’une théorie scientifiquement fondée. Et fort heureusement, des truites il s’en prend pendant les périodes de pleine lune comme de nouvelle lune. Bien d’autres facteurs naturels sont donc à prendre en ventNous avons vu que la température de l’eau avait une incidence directe sur le comportement alimentaire de la truite. Le vent, suivant sa provenance, n’est pas étranger aux variations de température. En effet, selon qu’il soit du nord ou du sud, de l’est ou de l’ouest, son influence n’est pas la même. Des vents seraient plus favorables à la pêche que d’ effet, un vent du sud ou d’ouest transporte des masses d’air chaudes. Cela a pour effet de réchauffer le climat et par conséquent d’augmenter la température de l’eau. Or, lorsque les eaux se réchauffent, l’activité alimentaire de la truite est plus importante, les poissons sont davantage enclins à un vent du nord ou d’est transporte des masses d’air froides ce qui a pour effet de refroidir le climat et d’abaisser la température des eaux. Or, des eaux froides ne sont pas propices à l’activité alimentaire de la truite, moins mordeuse et moins encline à se déplacer, donc plus difficile à aversesC’est bien connu, durant un orage les truites deviennent folles, tellement folles que certaines personnes seraient mêmes parvenues à les attraper à la main ! Les orages ont toujours été des moments propices à la pêche, des moments rares qui ne durent souvent que quelques effet, les grosses averses favorisent la tombée d’une nourriture en quantité abondante dans la rivière les chenilles, les limaces et autres larves qui sont collés aux branches, les papillons, les mouches et autres insectes, les vers de terre…, bref une vraie manne alimentaire pour la durant cette tombée abondante de nourriture dans l’eau, la truite va devenir comme surexcitée et se saisir de tout ce qui passe à sa portée. Le pêcheur a l’impression alors de faire feu de tout bois, les truites se ruant sur à peu près n’importe quel appât. Les touches et les prises sont en règles générales très instant magique ne dure que très peu de temps, d’une part parce que les truites seront vite gavées et d’autre part parce que les eaux vont progressivement se teinter, ce qui réduira considérablement la visibilité non seulement des truites mais surtout du pêcheur. Or, les truites se servent de leur visibilité pour se nourrir. Lorsque celle-ci est trop faible, la truite ne se déplace pas et se nourrit exclusivement de ce qui passe à proximité de son champ de vision. Le pêcheur devra donc faire dériver son appât très près de la truite s’il veut qu’elle s’en saisisse. Or, cela lui est d’autant plus difficile à faire que les eaux sont sales et les postes moins vaut mieux par conséquent pêcher pendant l’averse, qu’après. Attention toutefois à ne pas prendre de risques démesurés en pêchant pendant un orage avec une canne en qu’il faut retenirLe résultat d’une partie de pêche serait donc étroitement lié à certaines conditions climatiques ponctuelles. La lune, selon qu’elle soit pleine ou nouvelle, aurait une influence négative ou positive sur la pêche de la truite. Le vent, selon qu’il soit du sud ou du nord, réchauffe ou refroidit les eaux, augmente ou réduit l’activité alimentaire des truites. Enfin, les orages et les averses sont des moments magiques, très courts, pendant lesquels la truite se nourrit abondamment de tout ce qui tombe dans la rivière. Le pêcheur parviendrait ainsi à piquer » de nombreuses truites.
L’Eure n’est pas une rivière à truites, c’est entendu. Mais, dimanche, pas besoin de courir jusqu’à l’Avre, l’une des plus belles rivières à truite du département, pour se faire plaisir. Les pêcheurs sociétaires de la Gardonnette chartraine pourront tranquillement taquiner le salmonidé dans le cours d’eau à deux pas de chez eux. Nous avons sélectionné, avec l’aide de Thierry Couvray, le président de l’AAPPMA Association agréée de pêche et de protection du milieu aquatique de Chartres et sa région, les coins de pêche où les chances de faire de belles prises sont les plus grandes. 200 kilos de truites déversés autour de Chartres en vue de l'ouverture de la pêche, samedi 9 mars Le but, c’est de se faire plaisir, le jour de l’ouverture, et d’en prendre au moins une », assure le président de la Gardonnette. Pour cela, le plus sûr est de se rendre à proximité des points où la société de pêche aura effectué la veille un empoissonnement, car dans l’Eure, les truites s’en vont si on ne les prend pas ». En effet, le cours tranquille de l’Eure ne séduit pas la truite fario, qui apprécie les trous d’eau ou les forts courants des confluences. Parmi les onze lieux où seront déversés 120 kg de poissons au total, trois sont particulièrement recommandés par Thierry Couvray. 1. À Chartres, l’Eure, de la Petite Venise au pont du Gord Trois déversements différents sont effectués à Chartres au pont des Marais, à la passerelle des Bas-Bourgs et aux Trois-Ponts afin de satisfaire les pêcheurs chartrains, qui s’installent volontiers le long des trois kilomètres de la rivière aménagés en promenade. Chaque année, entre 60 et 70 pêcheurs viennent là pour l’ouverture », explique Thierry Couvray. 2. Pour les familles, le plan d’eau de Barjouville Labellisé parcours famille il y a quelques mois, le plan d’eau de Barjouville est, selon le président de la Gardonnette chartraine, le lieu idéal pour aller pêcher la truite avec les enfants. Le site est magnifique et très bien entretenu. Il y a beaucoup de poissons, ce qui permet aux enfants de pêcher au bord. » De plus, le site bénéficie de nombreux services aire de pique-nique, jeux pour enfants, sanitaires…. Parfait donc pour une découverte de la pêche en famille. Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idées de sorties et d'activités dans votre région. Ce qui va changer en 2019 pour les pêcheurs d'Eure-et-Loir 3. À Fontenay-sur-Eure, au plan d’eau des Chênes, le rendez-vous des passionnés Pour les amateurs de pêche plus sportive qui n’hésitent pas à enfiler les cuissardes pour aller taquiner la truite, le plan d’eau des Chênes et les 700 m de rivière du parcours mouche, à proximité, sont le spot idéal. D’autant que les truites relâchées ici sont des farios, les “vraies”. Attention, ici, seule la pratique du no kill, qui consiste à remettre le poisson à l’eau après la prise, est tolérée. Géraldine Sellès
La pêche à la truite va rouvrir samedi 13 mars. En Loire-Atlantique, de nombreux spots attendent les amateurs, en mode pêche sportive » ou pêche familiale ». Par Hervé Pinson Publié le 10 Mar 21 à 1031 mis à jour le 10 Mar 21 à 1120 Le Courrier du Pays de Retz Les amateurs de pêche à la truite ont rendez-vous à partir de 7 h, samedi 13 mars. © / IllustrationSamedi 13 mars 2021, c’est l’ouverture nationale de la pêche de la 7h, les amateurs de pêche ont rendez-vous sur les différents spots de pêche, en particulier en Loire-Atlantique où des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique AAPPMA offrent de plus en plus de parcours de pêche carte en ligne des spots de pêche ont été consultés plus de 20000 fois en 2020. Les spots sont classés par couleurs. En trois semaines, cette carte totalise de son côté totalise 18650 vues depuis sa mise en carte de la Fédération de pêche de Loire-Atlantique Pour l’ouverture de la pêche de la truite, trois nouveaux parcours vont permettre la pêche aux leurres normalement interdite en période de fermeture spécifique du brochet le Ruisseau du Pont Serin, La Brutz, autour de Rougé, et la Divatte, autour de la carte, les disques rouges représentent ceux des cours d’eau classés en 1re catégorie piscicole. La pêche sera ouverte jusqu’au dernier dimanche de septembre. Ces cours d’eau sont à règlementation particulière No kill » remise à l’eau obligatoire sur la plupart du en ce moment sur ActuLes disques verts mentionnent les zones de pêche en étangs ou plans d’eau en 2e catégorie. D’un accès plus facile, les plans d’eau permettent une pêche au flotteur, au poser. Elle est idéale en famille ou pour les personnes à mobilité disques oranges sont liés à la pêche en cours d’eau et ruisseaux en 2e catégorie. Il s’agit d’une pêche dynamique où il faut marcher au bord des rivières. La règlementation pêche en 2e catégorie est de rigueur pêche aux appâts naturels, au toc ver de terre, asticots, vers de farine… et mouche artificielle. La pêche aux leurres et aux vifs est interdite jusqu’au dernier samedi d’avril. Chaque pêcheur peut prélever quotidiennement jusqu’à trois truites au maximum. La remise à l’eau des brochets, sandres et black-bass est obligatoire en cas de capture, jusqu’à leur date respective d’ouverture disques vert-foncé la nouveauté cette année, donc représentent les parcours loisir truite ». Il s’agit d’un tronçon identifié par arrêté préfectoral sur les cours d’eau classés en 2e catégorie. À la demande de la Fédération départementale de pêche, par mesure dérogatoire du préfet, la règlementation autorise ici le pêcheur à toutes les techniques de pêche de la truite appâts naturels, vairon vif ou mort, pêche au manié, mouche artificielle, toujours à raison de truites par jour et par pêcheur. Là aussi, il faudra remettra à l’eau les autres espèces en cas de capture, jusqu’à leur date respective d’ouverture spécifique. EmpoissonnementLes instances de la pêche ont essayé de palier » les presque trois mois d’inactivité de pêche en réalisant de nombreux empoissonnements entre novembre 2020 et février cette action, plus de 30 000 € ont été mobilisés, à titre exceptionnel. Les instances de pêche œuvrent toujours au quotidien pour assurer un bon fonctionnement des populations de poissons sauvages, en restaurant frayères et habitats », précise la Fédération de pêche noter que nombre d’AAPMA effectuent des lâchers de truite à l’occasion de l’ouverture de la pêche. C’est le cas, par exemple, du Martin Pêcheur Philibertin qui rempoissonnera trois sites en truites arc-en-ciel le plan d’eau du Parc de la Boulogne 80 kg de truites, à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, le grand plan du Fief du Grand Moulin, à La Marne 80 kg et le plan d’eau du Moulin, à Saint-Etienne-de-Mer-Morte 50 kg. Des lâchers de truites sont effectués sur plusieurs sites, notamment au Parc de la Boulogne, à Saint-Philbert de Grand Lieu, au grand plan du Fief du Grand Moulin, à La Marne, et au plan d’eau du Moulin, à Saint-Etienne de Mer Morte. ©PxHere / illustrationPlus de 4000 pêcheurs de plus En 2020, la période de confinement de mars à mai a vu s’effondrer les effectifs de pêcheurs jusqu’au déconfinement », précise la Fédération de pêche de la Loire-Atlantique. Dès le mois de mai et son déconfinement, nous avons pu constater une remontée fulgurante et de nouveaux adhérents, la plupart jeunes de moins de 18 ans cartes personnes mineures et moins de 12 ans. Au 31 décembre 2019, nous avions ainsi 29 143 pêcheurs contre 33 174 à la fin de l’exercice 2020, soit 4031 pêcheurs de plus ! »En revanche, la fédération de pêche perd toujours des effectifs sur les cartes de personnes majeures et interdépartementales. Le tarifs des cartes de pêche en Loire-Atlantique, en 2021. ©Fédération de pêche de Loire-AtlantiqueCet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Courrier du Pays de Retz dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Brou. 40 pêcheurs à la 1ére journée truites . Quarante pêcheurs se sont retrouvés, samedi, dès 7 heures, à l’étang de la gare pour participer à la première journée truites organisée par l’AAPPMA de Brou et sa région, présidée par Claude Laisné. Pour cette journée, 100 kg de truites arc-en-ciel avaient été lâchés. Les pêcheurs qui ont pris l’une des cinq truites baguées ont eu leur mise remboursée. Pour que les chances soient égales, les places ont été tournantes de trente numéros toutes les heures le matin. Bien que les conditions climatiques n’aient pas été très favorables, les participants sont satisfaits car ils ont tous pu ferrer quatre ou cinq truites », commentait, samedi, le Didier Le Dréo, vice-président. Dimanche, la pêche s’est poursuivie sur l’étang, mais elle était réservée aux participants de la veille, titulaires d’une carte de pêche d’une AAPPMA. Info plus Les prochaines animations. Samedi 7 mai, deuxième journée de pêche à la truite étang est fermé à la pêche les 5 et 6 mai inclus et dimanche 8 mai, la pêche sera réservée aux participants du samedi ; samedi 23 avril et mercredi 4 mai, initiation pêche de 14 à 17 heures, sur inscription préalable au Tél. ; samedi 4 juin, concours de pêche au coup gratuit, réservé aux enfants de 6 à 14 ans inscriptions à partir de 14 heures.
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