LaCorniche Kennedy est un lieu bien connu des Marseillais puisque c'est un boulevard longeant la mer MediterranĂ©e de la plage des Catalans aux plages du Prado. Son nom a Ă©tĂ© donnĂ© en 1963 aprĂšs l'assassinat du PrĂ©sident des Etats-Unis. Maylis de Kerangal en fait l'endroit de l'action de son sixiĂšme livre paru en 2008. La Corniche est le rendez-vous de brunetachĂ©e par la sagesse. Car monsieur Ibrahim, de l’avis gĂ©nĂ©ral, passait pour un sage. Sans doute parce qu’il Ă©tait depuis au moins quarante ans l’Arabe d’une rue juive. Sans doute parce qu’il souriait beaucoup et parlait peu. Sans doute parce qu’il semblait Ă©chapper Ă  l’agitation ordinaire des mortels, surtout des mortels parisiens, ne bougeant jamais, Stendhalentre romantisme et rĂ©alisme Stendhal et NapolĂ©on Le hĂ©ros stendhalien Stendhal, une philosophie 4 Sujets 4 articles le Mar 31 Mai 2022 00:25; De l'Amour PrĂ©sentation de l'oeuvre 1 Sujets 1 articles le Sam 26 Nov 2011 12:21; Armance La thĂ©matique du secret Chapitre 16 2 Sujets 2 articles le Jeu 8 AoĂ» 2013 12:38; La Lavie de la rue : Momo Ă©volue dans un monde d’adultes, il n’est pas un enfant comme les autres. Il frĂ©quente des prostituĂ©es, des droguĂ©s, des travestis. Il n’y a plus de barriĂšres entre le monde de l’enfance et celui des adultes, entre celui du foyer et celui de la rue. LerĂ©sumĂ©. Oscar, un enfant de dix ans, a un cancer et vit Ă  l'hĂŽpital pour enfants. Mamie-Rose, la "dame rose", vient lui rendre visite tous les jours Ă  l'hĂŽpital. Elle l'encourage Ă  Ă©crire des lettres Ă  Dieu et Ă  vivre pleinement les derniers jours de sa vie. GrĂące Ă  Mamie-Rose qui noue un trĂšs fort lien d'amour avec lui, Oscar Oscaret la dame en rose de Eric-Emmanuel Schmitt - Éditeur A Vue d'Oeil - Livraison gratuite Ă  0,01€ dĂšs 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ  Apparemment, javascript est dĂ©sactivĂ© sur votre navigateur. JbqDOYV. INTRODUCTION Le roman Lorsque j’étais une Ɠuvre d’art a Ă©tĂ© Ă©crit par Eric-Emmanuel Schmitt et a Ă©tĂ© publiĂ© en 2002. Cet Ă©crivain est agrĂ©gĂ© et titulaire d’un doctorat de philosophie. Il s’est fait connaĂźtre tout d’abord au théùtre, il a Ă©galement beaucoup Ă©crit de romans et d’essais ainsi que des rĂ©cits. J’ai eu l’occasion de lire une autre Ɠuvre de ce mĂȘme auteur Oscar et la dame rose » paru Ă©galement en 2002. Le roman raconte l’histoire d’un jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©es, dĂ©primĂ© qui se trouve inexistant et incapable de rĂ©ussir quoi que ce soit mĂȘme son suicide est ratĂ©. Alors qu’il est sur le point de se suicider, il croise un artiste contemporain excentrique et mondialement connu. Ce dernier lui proposera de racheter son Ăąme et son corps afin d’en faire une Ɠuvre d’art vivante ou plutĂŽt un objet d’art, acte qu’il va d’ailleurs regretter par la suite. Ce roman fait Ă©cho Ă  Frankenstein de Mary Shelley car dans ces deux Ɠuvres la crĂ©ature va Ă©chapper au crĂ©ateur et va mĂȘme se rebeller contre lui. C’est Ă©galement le cas dans le roman La vague de Todd Strasser oĂč il ne sera pas question d’une crĂ©ature mais d’un mouvement dont le crĂ©ateur ne sera plus le maĂźtre. OBJET- LIVRE Je trouve toujours le format du livre livre de poche pratique car il peut ĂȘtre emmenĂ© et lu partout et que cela est un avantage pour mon entrĂ©e en lecture. La police d’écriture est plaisante Ă  lire bien que les caractĂšres soient rapprochĂ©s. Quant Ă  la premiĂšre de couverture, on s’attend Ă  une histoire non banale, originale. Elle est trĂšs colorĂ©e et peut ĂȘtre comparĂ©e Ă  certaines Ɠuvres contemporaines comme par exemple celles d’Andy Warhol. TENSION DRAMATIQUE Le rĂ©cit est assez bien construit du point de vue du dĂ©voilement progressif des informations. Nous avançons pas Ă  pas dans une histoire, dans une crĂ©ation qui nous amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir sur des thĂšmes typiquement de l’époque actuelle la reconnaissance, le succĂšs, l’esthĂ©tique
 J’ai trouvĂ© cependant certains passages un peu longs et rĂ©pĂ©titifs vers la fin du roman comme par exemple avec les diffĂ©rents conservateurs de musĂ©es. LISIBILITÉ/COMPLEXITÉ J’ai trouvĂ© que le roman se lisait facilement et rapidement, j’étais curieux d’avancer dans la lecture afin de savoir ce qui allait arriver au hĂ©ros du livre Adam bis. Les personnages sont peu nombreux. L’écrivain a choisi des noms originaux, faisant rĂ©fĂ©rence Ă  la mythologie grecque pour Zeus-Peter Lama ou au premier homme ayant existĂ© pour Adam bis. Les personnages sont donc Tazio Firelli = Adam bis un jeune homme inexistant, dĂ©primĂ© et vulnĂ©rable. Zeus-Peter Lama un artiste contemporain mondialement connu et manipulateur. Enzo et Rienzi Firelli frĂšres jumeaux d’une trĂšs grande beautĂ© et frĂšres de Tazio. Ce sont deux personnages insignifiants. Docteur Fichet le mĂ©decin au service de Zeus-Peter Lama Carlos Hannibal un peintre de l’invisible et pĂšre de Fiona. Fiona Hannibal fille de Carlos qui deviendra l’épouse d’Adam bis. Les lieux sont eux aussi peu nombreux il est surtout question de la somptueuse villa de Zeus-Peter Lama l’Ombrilic. Ce mot nom se rapproche d’ombilic nombril, maison qui est d’ailleurs aussi extravagante que son propriĂ©taire oĂč une seule chose ne trouvait pas sa place sur les murs de cette demeure la mesure ». Il n’y a que quelques scĂšnes en extĂ©rieur comme par exemple la plage oĂč Adam bis aime retrouver Carlos Hannibal et sa fille Fiona. Sinon, tout se dĂ©roule en intĂ©rieur et cela renforce cette idĂ©e de manque de libertĂ©. RÉALISME ET/OU VRAISEMBLANCE Le rĂ©cit m’a plu pour son habile mĂ©lange de vraisemblance et d’invraisemblance. La vraisemblance car c’est une satire de ce que certaines personnes sont capables de faire. Les limites qu’elles peuvent franchir pour ĂȘtre reconnu, pour cette quĂȘte de cĂ©lĂ©britĂ© Ă  tout prix et c’est lĂ  que nous nous rendons compte de la bĂȘtise humaine. D’ailleurs, Eric-Emmanuel Schmitt traite cela de façon comique, il se moque de façon impitoyable. Par exemple, Zeus-Peter Lama est un artiste de l’inutile, il a sculptĂ© la paille», emballĂ© la statue de la LibertĂ© dans du papier tue-mouches» . Bref, que des choses futiles, qui ne servent Ă  rien. Sculpter les corps est incroyable mais on ne peut s’empĂȘcher de faire un rapprochement avec la chirurgie esthĂ©tique pratiquĂ©e par certains chirurgiens. D’ailleurs, il paraĂźtrait qu’Eric-Emmanuel Schmitt aurait Ă©crit son roman Ă  la suite d’une Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e qu’il regardait montrant une personne ayant subie de nombreuses opĂ©rations afin de devenir de plus en plus beau. Le cĂŽtĂ© invraisemblable est prĂ©sent en ce sens qu’il n’est pas possible d’acheter un corps humain, d’en faire sa propriĂ©tĂ© ». GENRE –THÈME Il ne m’est pas possible d’établir de comparaison avec ma propre expĂ©rience cependant ce roman m’a plu par son cĂŽtĂ© fantastique et comique. Par certains aspects, il est proche de la mentalitĂ© de notre sociĂ©tĂ© actuelle le paraĂźtre, l’apparence, le pouvoir de l’argent, la cĂ©lĂ©britĂ©. Tout ce qui peut faire faire n’importe quoi pour ĂȘtre connu, reconnu et aussi l’image que l’on renvoie aux autres afin de trouver sa place dans la vie. Il est question dans ce roman d’extravagance, ainsi des pierres prĂ©cieuses Ă©taient serties dans l’émail des canines et des incisives» de Zeus-Peter Lama, les domestiques sont habillĂ©s en pingouins», le plat principal arrivait sur une civiĂšre et Ă©tait un immense corps d’athlĂšte caramĂ©lisĂ©, composĂ© de toutes les viandes existantes
 ». J’ai trouvĂ© cela absolument grotesque. Tout n’est qu’apparence, futilitĂ©, Zeus-Peter Lama a sculptĂ© la paille», colorĂ© le Danube» mĂȘme les couleurs utilisĂ©es pour peindre sont ridicules pervenche de sous-bois au soleil» ou bien rouge matriciel» cela ne veut rien dire. Adam bis, pour sa renaissance, ira jusqu’à simuler son dĂ©cĂšs et des funĂ©railles, auxquelles d’ailleurs Adam bis assistera. STYLE Pour ce qui est du niveau de langue, celui-ci est assez agrĂ©able, plaisant et facile Ă  lire avec des phrases qui sont relativement courtes. Toutefois, l’auteur peut utiliser un style recherchĂ© en utilisant des mots tels que l’histrion», un panĂ©gyrique» ou encore un sonomĂ©gaphore». Puis, enchaĂźner avec un style beaucoup plus familier et mĂȘme cru Ă  certains moments, nous avons se faire la gueule», ma merde», il va tout me bousiller», le cul dans le beurre», tomber en cloque». Les femmes sont mĂȘme traitĂ©es de morues». Cet artiste est mĂ©prisant et n’éprouve aucun respect ; d’ailleurs, ne pas connaĂźtre Zeus-Peter Lama, c’est avoir de l’avoine Ă  la place du cerveau». A certains moments, le personnage principal ainsi que Rolanda en fin de roman s’expriment sans utiliser de pronom personnel je» et nous lisons me trompé», uriner comment ?», trĂšs trĂšs fatiguant d’ĂȘtre une Ɠuvre d’art», surtout Rolanda taurine». Dans ce roman, l’écrivain a utilisĂ© le discours argumentatif. D’une part, quand Zeus-Peter Lama veut convaincre Adam bis et Ă©galement lors du dĂ©bat au moment du procĂšs. Ainsi, nous trouvons des connecteurs tels que parce que», autant» ou puisque» pour se justifier. D’autre part, en revanche» et donc» quand il s’agit de faire le bilan en fin de roman. Eric-Emmanuel Schmitt utilise beaucoup de dialogues ce qui rend le roman trĂšs vivant. Il y a Ă©galement Ă©normĂ©ment de points d’interrogation le personnage d’Adam s’interroge beaucoup ce qui amĂšne Ă©galement le lecteur Ă  rĂ©flĂ©chir lui aussi et Ă  partager un peu les diffĂ©rentes Ă©motions du hĂ©ros. TENSION ÉMOTIONNELLE MĂȘme si le rĂ©cit ne me permet pas de m’identifier, je ne peux rester indiffĂ©rent Ă  ce qui arrive Ă  Adam bis. C’est une histoire qui est perturbante et qui fait froid dans le dos par certains aspects. Le suspens concernant le sort du personnage principal demeure jusqu’à la fin du livre, c’est-Ă -dire jusqu’au procĂšs. Le lecteur que je suis est amenĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir en lisant ce roman sur l’art, la cĂ©lĂ©britĂ©, l’esthĂ©tique. Tout n’est qu’apparence, duperie, ambiance superficielle et on ne s’y sent pas Ă  l’aise, mĂȘme la grille est hautaine ». CARACTÈRE MORAL DiffĂ©rentes valeurs sont abordĂ©es dans ce roman La libertĂ©, qui est d’ailleurs bafouĂ©e tout au long du roman mais qu’Adam bis retrouve dans les derniĂšres pages du rĂ©cit, quand il rĂ©ussit Ă  se libĂ©rer de l’autoritĂ© de son crĂ©ateur. Il devient conscient que Zeus-Peter Lama veut le priver de sa conscience une des seules choses qui lui reste avec ses yeux et sa voix. L’amour qu’éprouve Adam bis Ă  l’égard de Fiona et Carlos Hannibal. C’est d’ailleurs grĂące Ă  cet amour qu’il rĂ©ussira Ă  se sortir des griffes de Zeus-Peter Lama. Cet amour est si fort qu’Adam bis dit mĂȘme aimer trois fois». Carlos Hannibal ainsi que sa fille Fiona vont radicalement changer son regard sur la vie. En ce qui concerne Carlos Hannibal, ce dernier n’a jamais vĂ©ritablement connu le succĂšs sauf Ă  titre posthume mais il a vĂ©cu heureux en exerçant un mĂ©tier qu’il aimait. Ce rĂ©cit me semble moralisateur car l’écrivain a un esprit critique en montrant au lecteur jusqu’oĂč la bĂȘtise humaine peut aller. ORIGINALITÉ L’histoire est originale et loufoque. En revanche, la fin du rĂ©cit m’a surprise et j’ai trouvĂ© qu’il se terminait un peu comme les contes de fĂ©es ils vĂ©curent heureux et eurent beaucoup d’enfants». J’ai trouvĂ© qu’il y avait un grand dĂ©calage par rapport au reste de l’histoire. La maison avec des enfants, la vie de famille tout Ă  fait normale, cela a un cĂŽtĂ© trĂšs rĂ©aliste. Et mĂȘme si, en fin de roman, on Ă©tait conscient qu’Adam bis voulait changer ses conditions de vie ne plus ĂȘtre sous le joug de Zeus-Peter Lama, je ne me doutais cependant pas qu’Adam bis aurait une vie aussi rangĂ©e. Ce n’est donc pas une fin de roman originale mais cela donne une note positive, une bouffĂ©e d’espoir dans un monde oĂč l’avenir d’Adam bis semblait trĂšs compromis. COMPARAISON AVEC LES AUTRES ƒUVRES DE LA SÉQUENCE Ce roman peut ĂȘtre rapprochĂ© de celui de Mary Shelley Frankenstein car lĂ  aussi, il est question d’une crĂ©ature qui se rebelle contre son crĂ©ateur. Dans les deux cas, les crĂ©ateurs sont considĂ©rĂ©s comme des gĂ©nies. Dans les deux romans, les crĂ©ateurs nous apparaissent comme des monstres. CONCLUSION Bien que je ne sois pas particuliĂšrement attirĂ© par les romans du genre fantastique, il m’a quand mĂȘme tenu en haleine et m’a amenĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir sur ce que sont prĂȘtes Ă  faire certaines personnes pour exister dans le monde actuel. Eric-Emmanuel Schmitt a dit un jour A trop se regarder, on s’empĂȘche de vivre ». Fiche de lecture sur Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt. Cette analyse d'Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt comprend un rĂ©sumĂ©... Lire la suite 9,99 € Neuf Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 3,99 € ExpĂ©diĂ© sous 2 Ă  4 semaines LivrĂ© chez vous entre le 13 septembre et le 27 septembre Fiche de lecture sur Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt. Cette analyse d'Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt comprend un rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© sur Oscar et la dame rose, une analyse des idĂ©es et du style d'Eric Emmanuel Schmitt. A PROPOS DE LA COLLECTION La sĂ©rie offre des contenus Ă©ducatifs aux Ă©tudiants et aux professeurs tels que des rĂ©sumĂ©s, des analyses littĂ©raires, des questionnaires et des commentaires sur la littĂ©rature moderne et classique. Nos documents sont prĂ©vus comme des complĂ©ments Ă  la lecture des oeuvres originales et aide les Ă©tudiants Ă  comprendre la littĂ©rature. FondĂ© en 2001, notre site s'est dĂ©veloppĂ© trĂšs rapidement et propose dĂ©sormais plus de 2500 documents directement tĂ©lĂ©chargeables en ligne, devenant ainsi le premier site d'analyses littĂ©raires en ligne de langue française. FichesdeLecture est partenaire du MinistĂšre de l'Education du Luxembourg depuis 2009. Date de parution 10/12/2014 Editeur ISBN 978-2-511-02858-2 EAN 9782511028582 PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 24 pages Poids Kg Dimensions 12,7 cm × 20,3 cm × 0,1 cm Oscar et la dame en rose - Grand Format Edition en gros caractĂšres Voici les lettres adressĂ©es Ă  Dieu par un enfant de dix ans. Elles ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es par Mamie Rose, la "dame rose" qui vient lui rendre visite... Lire la suite 14,00 € Neuf DĂ©finitivement indisponible Voici les lettres adressĂ©es Ă  Dieu par un enfant de dix ans. Elles ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es par Mamie Rose, la "dame rose" qui vient lui rendre visite Ă  l'hĂŽpital pour enfants. Elles dĂ©crivent douze jours de la vie d'Oscar, douze jours cocasses et poĂ©tiques, douze jours pleins de personnages drĂŽles et Ă©mouvants. Ces douze jours seront peut-ĂȘtre les douze derniers. Mais, grĂące Ă  Mamie Rose qui noue avec Oscar un trĂšs fort lien d'amour, ces douze jours deviendront lĂ©gende. Date de parution 01/05/2003 Editeur ISBN 2-84666-129-4 EAN 9782846661294 Format Grand Format PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 132 pages Poids Kg Dimensions 15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm Biographie d'Eric-Emmanuel Schmitt NĂ© en 1960, Eric Emmanuel Schmitt est devenu en dix ans l'auteur de théùtre le plus jouĂ© en France comme Ă  l'Ă©tranger. Milarepa fait partie d'une trilogie, avec Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran et Oscar et la dame rose.

oscar et la dame rose résumé par chapitre