Uncollectif de migrants à Nantes. 18 décembre 2018 actualité internationale, actualité locale immigration npa44. Ce mardi 18 décembre, à l’occasion de la Journée Internationale des migrants, un rassemblement avait lieu à côté de la Place du Bouffay. Fait particulièrement intéressant, il était à l’initiative d’un collectif de migrants tout récemment formé et qui n’a pas Unevoiture de police (photo d'illustration). Un bâtiment occupé à Nantes par une cinquantaine de migrants africains a la cible d'un jet de cocktail molotov dans la nuit de samedi à dimanche Cesamedi 9 décembre 2017, impressionnante manifestation de soutien aux ados migrants, dans les rues de Nantes Jérôme Fouquet/Ouest-France Ce mardi soir un tract circule. Conférence de presse ce mardi 5 après que le tribunal administratif a validé la possibilité d'expulsion des deux sites occupés (Tertre et Censive) Ce mercredi 6 décembre AG du mouvement d'occupation et Fév 8, 2018 - Par Mille Babords - Le 8 février, une soirée de soutien au Collectif Soutien Migrants 13 / Al Mamba aura lieu au Molotov (place Paul Cézanne), chose d'autant plus nécessaire suite aux récentes expulsions de logements occupés. Prix libre maximum de solidarité, liberté de circulation pour toutes et tous ! La soirée commencera avec une discussion à 20 heures autour Interventionde Jean-Paul Huard, du groupe des élu-e-s écologistes et citoyens de Nantes Métropole, au conseil métropolitain du 28 juin 2019 : « Soutien au collectif d’aide aux migrants du gymnase Jean Bernard » Lesmigrants de Nantes vivent au grès des expulsions et tentent comme ils peuvent de trouver un endroit pour installer leurs tentes. Après l’évacuation du square Daviais le 23 juillet, seules 147 personnes, les plus vulnérables, se sont vues proposer un hébergement.Les autres se sont installés dans un ancien lycée avec l’aide des collectifs d’aide aux migrants de Nantes. Tdb0iX. Publié le 04/08/2018 à 1758 , mis à jour à 2124 Environ 500 personnes ont manifesté samedi à Nantes pour soutenir les migrants expulsés fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycée où des associations leur venant en aide les avaient installés, a constaté l'AFP. Le cortège, composé de migrants et de militants, a défilé dans le centre-ville à l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternité" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, où un campement de plusieurs centaines de migrants avait été évacué fin juillet mais où des tentes ont de nouveau été installées, s'est déroulée sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dénonce "les expulsions des lieux réquisitionnés par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'équipements publics mis à leur disposition et de distribution d'eau potable malgré la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il réclame l'arrêt des expulsions et la mise à l'abri des migrants présents à Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'Érythrée, avaient été évacués du square Daviais à la demande de la préfecture. Le campement y était installé depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire préoccupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La présence de rats et des cas de gale avaient été signalés. "147 personnes, les plus vulnérables, ont pu se voir proposer un hébergement à cette occasion", a précisé la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont été évacués de l'ex-lycée qu'ils avaient occupé après avoir été expulsés une première fois, cette fois à la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycée Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en école, soit occupé", avait précisé Aïcha Bassal, adjointe à la mairie de Nantes, dans un communiqué. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignée de tentes mi-juin, s'est agrandi après les évacuations successives de deux bâtiments privés squattés, et au gré d'arrivées depuis l'Italie ou l'Espagne de réfugiés, essentiellement soudanais et érythréens. Le département de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontés à "une évolution significative des flux depuis fin février", selon les autorités. Les demandes d'asile ont ainsi augmenté de 28% en un an, là où d'autres grandes villes ont enregistré des baisses. Error 403 Guru Meditation XID 870712111 Varnish cache server Google map Par AFP, publié le 8 novembre 2015 à 16h02. Un squat occupé à Nantes par une cinquantaine de migrants africains a été la cible d'un jet de cocktail molotov dans la nuit de samedi à dimanche, provoquant un début d'incendie, mais sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de leur comité de soutien. Vers minuit, alors que les occupants s'apprêtaient à s'endormir, un engin incendiaire a été lancé par un inconnu par une fenêtre de la maison du quartier Chantenay, qu'ils occupent depuis près près d'un an. Un feu s'est déclaré, que quatre d'entre eux ont réussi à éteindre avec de l'eau et des couvertures, selon le Collectif de soutien aux expulsés de la rue des Stocks. Sur place, des traces de suie étaient visibles dimanche à une fenêtre extérieure et à l'intérieur de la pièce atteinte par l'engin incendiaire, où régnait une forte odeur de brûlé, selon le quotidien Ouest-France, qui a révélé l'affaire."Celui qui a fait ça, il a voulu nous tuer", a témoigné un des occupants cité par le quotidien. Le Collectif a dénoncé ce dimanche une "agression criminelle et xénophobe, qui s'inscrit dans une suite d'actes de plus en plus violents à l'encontre des migrants inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d'un squat et dégradations diverses à l'encontre des associations qui soutiennent les migrants". Dénonçant "la politique laxiste du gouvernement et des autorités locales, qui laissent toute liberté d'agir lâchement à des groupes xénophobes et racistes", le Collectif a demandé l'ouverture rapide de "centres d'accueil inconditionnel et de qualité" pour les personnes "sans abri, sans papiers, sans possibilité de travail".Outre la maison visée par le cocktail molotov, occupée par des migrants venus essentiellement du Soudan, d'Erythrée et de Somalie, un autre squat regroupe à Nantes plusieurs dizaines de migrants dans un presbytère du quartier Doulon depuis l'été 2014. Société Immigration. Lundi 23 juillet, à partir de 8h du matin, plus de 450 migrants ont été expulsés d'un square de la ville de Nantes Loire-Atlantique. Publié le 23 juillet 2018 à 18h55 Des migrants du square Daviais, à Nantes. Photo © SEBASTIEN SALOM GOMIS/SIPA Les migrants sont essentiellement soudanais et érythréens. Ils squattaient le square Davials, en centre-ville de Nantes, depuis quelques mois, leur effectif grossissant en fonction des évacuations successives de divers squats de la ville. La maire PS de Nantes, Johanna Rolland, s’était opposée à cette évacuation, mais la préfecture de Loire-Atlantique a finalement eu le dernier mot. L’objectif de cette expulsion est de mettre fin à une situation présentant des risques élevés pour la santé et la salubrité publiques », a-t-elle écrit dans un communiqué rapporté par l’AFP. Des migrants disséminés dans toute la France La préfecture a assuré au quotidien Ouest-France que les plus vulnérables seront systématiquement mises à l’abri » et que des places d’hébergement ont dû être mobilisées sur l’ensemble du territoire national, car le dispositif d’accueil des demandeurs d’asile était actuellement saturé en région Pays de la Loire ». Mais la situation est loin d’être sous contrôle. La préfecture a promis une centaine de places, ce qui veut dire qu’il y aura au moins 300 personnes qui vont dormir à la rue ce soir, sans tente. Ils vont s’installer ailleurs, dans un autre jardin public et on n’aura rien résolu. … C’est retour à la case départ », a déploré un membre d’un collectif de soutien aux migrants à l’AFP. Ils sont arrivés de Guinée, de Côte d’Ivoire, du Cameroun ou du Ghana. Ils ont fui la violence », la misère » ou la persécution politique ». Depuis près de cinq ans, trente à quarante migrants, demandeurs d’asile ou en situation régulière, vivent entassés dans une maison privée de 110 m2 désaffectée, rue des Trois-Rois, quartier Doulon à conditions de vie, déjà très inconfortables, sont devenues intenables » il y a un mois avec la coupure de l’électricité à la suite d’un début d’incendie. Il n’y a ni eau chaude, ni chauffage, ni lumière. C’est l’un des pires squats de l’agglomération nantaise », déplore Karine, du collectif Soutien aux migrants Nantes. Je sens que la situation est explosive »Alia, Guinéen de 22 ans, dort depuis un an dans une remise au fond de la cour. Il fait froid, on ne mange pas toujours comme il faut, on doit cohabiter. C’est difficile. Mais c’est mieux que d’être dehors. » La France est une référence pour la démocratie. On ne s’attendait pas à cet accueil, à ces conditions de vie. On a besoin d’aide pour préserver notre santé », implore Sylla, 29 ans, originaire de Guinée lui aussi. » Alia, Guinéen de 22 ans, devant la cuisine du squat des migrants de Doulon. - collectif réclame à l’Etat de prendre ses responsabilités » en relogeant ces migrants. A défaut, il souhaite que la mairie puisse prendre en charge les frais d’électricité du squat, dépense que les bénévoles ne peuvent pas assumer. Ces jeunes ne voient que des portes fermées et perdent espoir. Je sens que la situation est explosive » s’alarme Vincent, membre du squat n’a pas vocation à perdurer », affirme la villeL’impatience s’exprime aussi du côté de certains riverains. Nous sommes contre la remise en service de l’électricité, alerte une voisine. Nous demandons à la ville d’ouvrir une procédure d’insalubrité et de fermer la maison. Ces gens ne peuvent pas rester dans un endroit aussi indigne. » Leur situation est inimaginable. Les pouvoirs publics doivent faire quelque chose », rapporte Joël Coudriau, président du conseil syndical de la résidence cour du squat des Trois-Rois, quartier Doulon à Nantes. - La situation de ce squat est connue. Il n’a pas vocation à perdurer », répond la mairie de Nantes qui indique travailler à la mise en place de baux précaires » pour reloger tout ou partie des migrants des Trois-Rois. Environ 300 migrants en squatsSur l’ensemble de la ville, environ 300 migrants vivent actuellement dans une demi-douzaine de squats, à Chantenay, au Vieux-Doulon, à Nantes-Sud ou sur l’île de Nantes, selon le collectif. Le dernier d’entre eux est une ancienne maison de retraite du quartier Graslin occupée par plus d’une centaine de personnes. On les accompagne tant bien que mal mais ça ne suffit pas. Il faut la tenue urgente d’une table ronde réunissant la préfecture, la ville et tous les acteurs concernés par le sujet », insiste le collectif Soutien aux migrants Nantes. La municipalité demande, elle aussi, l’organisation d’une telle table ronde.

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